CONTE DE FEE A LA DILT
Bonjour les agents, c’est la CFDT et ses représentants DILT qui vont vous narrer un conte de fées :
« Il était encore une fois une réforme qui a foiré. Cette histoire se déroule sur la CASP du 18éme ou plusieurs directions DFPE, DASCO, DILT sont logées au 11 rue Dupré.
Le secrétaire du CHSCT et les représentants CFDT dûment alertés sont allés à plusieurs reprises rencontrer les agents complétement dépités.
Que se passe-t-il donc sur cet établissement ? Quelles sont donc ces difficultés ?
À notre grande surprise, la CFDT a pu constater la présence d’individus marginalisés.
Des femmes qui sur place dans le parking souterrain sont en train de se prostituer et de faire leurs besoins naturels sans se sentir gênées et ceci malgré les interventions de la DPSP.
Le soir, quand la majorité des agents dégoutés sont rentrés à leurs domiciles, le terrain de l’établissement est laissé aux drogués.
Le matin à la prise de service la présence d’aiguilles de shooteuses utilisées et abandonnées sont à déplorées avec le danger que cela peut impliquer.
Au dernier CHSCT, le secrétaire d’instance et les représentants du personnel ont alertés l’adjoint au maire de Paris qui a tout simplement répondu et cela sur procès-verbal qu’en aucun cas il y avait plus de danger que dans d’autres contrées.
Alors chers (es) agents est-il normal que vous soyez inquiets de ces présences à l’intérieur du périmètre ou vous travaillez ?
Par conséquent, la CFDT se voit dans l’obligation d’informer afin qu’une solution radicale vous soit trouvée.
QUE FONT DONC LA MUNICIPALITE ET LE PREFET, doit-on attendre une agression, une piqure de seringues usagée ou qu’une ou un agent se fasse suriner ?
La morale de cette histoire c’est que les moyens sont et ne sont toujours pas déployés. Que la situation une fois de plus est prise avec une extrême légèreté !
La CFDT a donc décidé que tous ces silences ont que bien trop perdurés. »
Bonne journée les agents, la CFDT s’engage à s’en occuper pour y remédier.