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Prévention des risques majeurs, la DAC à contre-courant,

Vous pensiez avoir tout vu ? Eh bien non, non !!

 

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Suites aux attentats, le plan Vigipirate s’est vu passer à l’alerte maximum dans les services accueillant du public.

 

La Mairie de Paris soucieuse d’une gestion budgétaire resserrée, imagine une nouvelle manière de faire des économies à la DAC sur le dos de la sécurité des usagers et des personnels.

Les bibliothèques, lieux privilégiés d’un public hétéroclite, emprunteurs, lecteurs, mais aussi SDF,  personnes psychologiquement fragiles, groupes de jeunes marginaux ou collégiens désabusés, sont régulièrement la cible de mécontents, de chahuteurs et d’actes d’incivilité et quelques fois de violence. Les incivilités y sont notoires au vu du nombre important de fiches ESPRI.

Aujourd’hui dans trois grosses bibliothèques parisiennes, la Mairie de Paris met en demeure les responsables d’établissement de choisir entre un agent de sécurité(SSI) et un agent de sécurité incendie (SSIAP2)  …

La CFDT dénonce le mépris de la collectivité parisienne envers la sécurité des usagers. Cette mesure démontre aussi la méconnaissance du politique vis-à-vis de l’action culturelle et du travail de lien social existant dans les bibliothèques de la Ville de Paris.

Au pas de charge l’information est  diffusée le 24 février par la DAC, la  réponse doit être parvenue le 28, pour une mise en place au 1er mars.

Est-ce le bon moment ? Est-ce aux responsables de choisir ?

Ces 3 postes sont-ils  « si » couteux qu’ils obligent leur suppression en pleine mise en œuvre du plan vigipirate niveau d’alerte attentat.

La CFDT sinterroge sur le bienfondé d’une telle mesure et exige des réponses.

Mairie de Paris expliquez-vous ????

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